Hygiène du visage indispensable au quotidien

Si la plupart des femmes savent qu’il est primordial de se démaquiller soigneusement tous les soirs, les hommes n’en font pas toujours de même. Pourtant, tous devraient s’y coller, en particulier les citadins.  

A suivre les conseils pratiques « la peau des zones découvertes a besoin d’un nettoyage en fin de journée lui permettant de respirer et de se régénérer la nuit. »

Vrai pour les femmes qui se maquillent, cette recommandation est aussi très importante pour les adultes en général. En effet, la superposition de cosmétiques, tout comme la sueur, le sébum, les débris cellulaires, les poussières et les microparticules de pollution « obstruent les pores et sont difficilement éliminés sans un nettoyage régulier. »

La méthode la plus douce reste l’usage d’une eau micellaire, d’un lait démaquillant, d’un coton doux. Elle est spécialement adaptée si vous avez la peau sensible ou sèche. L’eau du robinet est alors à éviter absolument car elle est irritante et desséchante.

Les messieurs qui n’aiment pas le contact du coton ou qui portent la barbe et ceux qui ont la peau grasse pourront opter pour un gel moussant rincé à l’eau du robinet : même conseil pour les dames. La couleur grisâtre que va prendre le coton « devrait suffire à convaincre les plus réticents de la nécessité de se débarbouiller le soir. »

Enfin, ne pas oublier, après le nettoyage, d’hydrater l’épiderme. Sur le visage bien sûr, mais aussi les autres zones découvertes comme le cou, mains et le décolleté.
 

PRÉVENTION

L’association « Alerte des médecins sur les pesticides «  ( AMLP) qui regroupe 1.600 praticiens en France, part en guerre contre les perturbateurs endocriniens.

BISPHENOL A, PHATALATES, PARABENES, ALKYLPHENOL, CHLORDECONE…. Autant de substances qui ont envahi notre quotidien. Vous les retrouvez dans les matières plastiques, les cosmétiques, les produits ménagers, les mobiliers ou encore les écrans. Difficile d’y échapper !

Selon les médecins de l’AMPL, les niveaux d’imprégnation s’avèrent très élevés chez les femmes en âge de procréer. Et par ricocher, les fœtus sont également exposés au cours de la grossesse. Or de nombreuses études ont établi un lien entre l’exposition aux perturbateurs endocriniens et une multitude de troubles : faible poids de naissance, diabètes, obésité, troubles de la reproduction, etc.

L'AMLP a donc décidé de sensibiliser le grand public et plus particulièrement les femmes en âge de procréer à différentes situations de la vie quotidienne exposant aux perturbateurs endocriniens.  

www.alerte-medecins-pesticides.fr